UN FILM DE DISNEY TOURNE A EILAT

Ce n’est pas la première fois que de grands cinéastes choisissent les paysages qu’offrent  la ville d’Eilat pour tourner un film (ex : Rambo). Cette fois, il s’agit de l’illustre production Walt disney qui va adapter le documentaire israélien « Dolpheen boy ».

Walt Disney a acheté les droits d’auteur pour le documentaire « Dolphin Boy », avec l’intention d’en faire un long métrage. Le film raconte l’histoire de Morad, un adolescent arabe israélien qui avait perdu sa capacité à communiquer après avoir été attaqué par ses camarades de classe, et qui réapprend à communiquer avec l’aide des dauphins à Eilat.
Dolphin Boy « sera pour Disney, une première acquisition du géant de l’animation en Israël. Les Studios de Walt Disney ont l’intention de transformer l’histoire en un long métrage pour enfants qui montrera que les israéliens ne font aucune différence entre les peuples et aident tous les citoyens israéliens.
Le documentaire qui a été primé et réalisé par Dani Menkin, Yonatan Nir et Judith Manassen Ramon, qui ont travaillé pendant quatre ans, après avoir entendu l’histoire de Morad
Le jeune garçon de 16 ans de la ville arabe de Qalansawe dans le centre d’Israël, avaient cessé de parler après avoir été attaqué par ses camarades. Compte tenu de son absence de progrès, les médecins avaient placé Morad dans un établissement psychiatrique.

Au lieu de cela, son père a vendu sa ferme de chevaux, et se dirigea vers Eilat avec Morad, après avoir entendu que des médecins avaient la possibilité de donner une thérapie avec des dauphins. Morad a fini par rester au Dolphin Reef d’Eilat pendant quatre ans, afin d’apprendre à communiquer d’abord avec les dauphins, et puis retrouver ensuite sa capacité à communiquer avec les hommes.
Les négociations sur les droits d’acquisition à « Dolphin Boy » ont duré plus d’un an, et des contrats ont été signés cette semaine, selon Hadas Schapira, qui s’occupe des relations publiques pour le film. Le scénario adapté pour « Dolphin Boy » sera écrit par Justin Zackham, en collaboration avec Menkin, Nir et Hansen Ramon.
Nir et Menkin, qui ont co-écrit et réalisé le documentaire, ont dit qu’ils étaient «heureux et excités de faire partie du grand succès du cinéma israélien et de la télévision dans le domaine international. »

source: alyaexpress-news.com

FILLE NOA – GARCON NOAM

NOAM ET NOA, LES DEUX PRÉNOMS FAVORIS EN 2012 EN ISRAËL 
A l’occasion de la journée de l’enfance qui a eu lieu récemment en Israël, le bureau des statistiques a publié la liste des prénoms les plus populaires en Israël. 

Selon cette étude, ceux qui ont été les plus choisis en 2012 sont Noa pour les filles et Noam pour les garçons (cela fait 14 ans que le prénom Noa est en tête de liste). Mais les Israéliens regardent aussi ce qu’il se passe à l’étranger et suivent de près les tendances, notamment en matière de musique. Ainsi, un nouveau prénom vient de faire son entrée parmi les favoris durant 2012, et pas moins de 850 bébés filles nées durant cette année en sont dotées : il s’agit du prénom Adèle, en référence à la nouvelle star de la Pop. Adèle est désormais à la huitième place, alors qu’en 2010, seules 150 filles avaient été nommées ainsi. 
Pour la petite histoire, une maman israélienne qui avait appelée ainsi sa fille en 2009, en souvenir de sa grand-mère décédée, est ravie car l’enfant est désormais fière de porter le prénom de la célèbre chanteuse.

En 2ème place, le prénom le plus choisi pour les filles  est Shira  (qui veut dire chant), suivi respectivement de Tamar, Talia et Maya.

Côté garçons, Noam devance Ouri, qui occupe en 2012 la deuxième place, suivis respectivement de Iti, Yossef et David.


(Source : Israël Hayom)-Traduction Valérie bitton

LA FIN D'UN MYTHE LE CAFÉ ELITE FABRIQUE A L’ETRANGER

Le célèbre café Elite, devenu le symbole d’Israël, sera bientôt fabriqué au Brésil, en Allemagne et au Vietnam.  La raison : la société Strauss fermera dans quelques mois une de ses usines de Tsfat, après 60 années d’activité.  L’usine, qui transforme le café en café soluble et qui est située au milieu d’habitations, est en effet accusée de provoquer des dégâts sur le plan écologique.  

Notez que l’usine a pourtant été construite avant que les zones d’habitation ne se développent autour d’elle. Aujourd’hui, des jardins d’enfant ont même été construits à proximité. Les activités de l’usine seront donc délocalisées à l’étranger, mais une partie sera néanmoins conservée dans une autre usine, implantée également  à Tsfat, dans la Zone industrielle.

La société Strauss a par ailleurs promis qu’aucun des cinquante employés ne seront licenciés.  Ces derniers seront employés dans l’autre usine située à Tsfat, ou à un autre poste au sein de la société Strauss. Notez que les autres produits (à l’exemple du café turc) continueront d’être fabriqués en Israël.

Strauss veut rassurer ses clients en affirmant que le goût du célèbre café soluble Elite restera identique à celui d’origine. La Casheroute et le packaging seront aussi identiques.

De même, il sera toujours écrit sur la boite « fabriqué en Israël » puisque, comme le veut la loi sur l’emballage, le produit est considéré comme « blanc-bleu », la plupart des activités de production du café soluble se poursuivant en Israël. De plus, les boites de café passeront toutes au contrôle qualité en Israël.

Si l’idée de construire une nouvelle usine en Israël avait effleuré les propriétaires de Strauss, le montant de ce projet -300 millions de shekels- a bien vite éloigné cette éventualité.


On ignore à ce jour les conséquences de cette délocalisation sur le prix des boites de café instantané. Selon Strauss, les prix resteront identiques. 

CONSOMMATEURS : LA FIN DE L’ARNAQUE

9,99 shekels, 4,39 shekels, 58,76 shekels : A partir de janvier 2014, vous ne verrez plus ces prix affichés en magasin. En effet, une loi interdira aux magasins de vendre des articles dont le prix comprend des agourot impossibles à rembourser. Cette loi, initiée par le ministre de l’Economie Naftali Bennet et l'association de défense des consommateurs en Israël, permettra de ne pas duper le client qui a l’impression de payer moins cher en donnant 99,99 shekels alors qu’il est impossible de lui  rembourser  la différence.  Les enseignes devront donc arrondir leurs prix vers le haut, ou vers le bas. Elles ont jusqu’à la fin de l’année civile pour s’organiser et modifier  leurs tarifs.

Cette décision fait suite à de nombreuses plaintes des consommateurs israéliens qui en ont assez d’être dupés par des tarifs trompeurs. Les spécialistes en marketing savent bien utiliser ce stratagème pour ne pas dépasser la barre psychologique des 100 shekels.

Notez qu’au début des années 90 ; la banque Israël avait retiré du marché l’agoura (qui correspond à 1 centime israélien) et la pièce de 5 agourot, mais les commerçants ont conservé la tarification avec ces décimales.

A partir du 1er janvier, les prix comprenant de 1 à 5 agourot seront donc arrondis au prix rond inférieur, et les prix comprenant de 6 à 9 agourot seront arrondis au nombre entier supérieur. Par exemple, 8,45 shekels deviendront 8,40 shekels, et 99,99 shekels deviendront 100 shekels. (De toute façon, faute de pouvoir récupérer sa monnaie, le consommateur payait déjà 100 shekels)

"Les consommateurs israéliens ne sont plus des pigeons,  a déclaré Naftali Bennet. Ils se faisaient avoir deux fois : la première en ayant l’impression d’un prix plus bas, et la deuxième en ne récupérant pas leur monnaie ".

Et il n’y a pas de petites économies : selon le ministre, cette loi va permettre aux consommateurs d’économiser des milliers de shekels sur plusieurs années.  


(source : Israël Hayom) 

CHAMPION DU MONDE !

Je vous présente celui qui fait la fierté d’Eilat : notre champion local Shahar Tsoveri. Shahar, véliplanchiste, a remporté de nombreuses compétitions internationales et a été souvent décoré. Le jeune sportif vient de remporter la médaille d’or lors du championnat du monde. Notez que ce n’est pas le seul sportif eilatien qui fait des exploits : vous entendrez surement parler d’Adar (sa cousine) qui a achevé avec succès six courses lors du championnat du monde des jeunes, de Hallar (championnat du monde d’Europe catégorie jeunes) et de Shahar Tibi (12ème place). Beatsla’ha à tous !


16 000 SHEKELS

C’est le montant de l’amende qui a été infligée cette semaine à un propriétaire de yacht dans la Marina d’Eilat. Ce dernier est accusé par le bureau de protection de l’environnement d’avoir pollué les eaux de la Marina, ceci suite à la découverte par les inspecteurs dépêchés sur place d’une tache d’huile près du yacht que les propriétaires étaient en train de nettoyer. L’inspection des machines a permis de découvrir de l’essence et de la suie dispersées dans la mer par les techniciens peu scrupuleux. Parallèlement, le bureau de protection de l’environnement a effectué une opération de nettoyage de la Marina qui a permis de ramasser plusieurs litres d’huile.

16 000 SHEKELS

C’est le montant de l’amende qui a été infligée cette semaine à un propriétaire de yacht dans la Marina d’Eilat. Ce dernier est accusé par le bureau de protection de l’environnement d’avoir pollué les eaux de la Marina, ceci suite à la découverte par les inspecteurs dépêchés sur place d’une tache d’huile près du yacht que les propriétaires étaient en train de nettoyer. L’inspection des machines a permis de découvrir de l’essence et de la suie dispersées dans la mer par les techniciens peu scrupuleux. Parallèlement, le bureau de protection de l’environnement a effectué une opération de nettoyage de la Marina qui a permis de ramasser plusieurs litres d’huile.

INAUGURATION DU NOUVEL AEROGARE DE BEN GOURION

Suite à  l’accord « à ciel ouvert »,  le ministre des Transports Israël Katz a inauguré la partie ouest de l’aéroport « Ben-Gourion », conçu pour des vols low-cost. Il est prévu que compte tenu de l’accord «ciel ouvert» , les compagnies low-cost au départ de Israël-Europe vont augmenter considérablement.
Selon le ministre des Transports , « une nouvelle aile située au terminal 1 va permettre des dizaines de vols à des prix intéressants au départ de toute l’Europe, suite à l’ accord de transition« Ciels ouverts », cet accord a déjà conduit à une augmentation significative du nombre de compagnies low-cost  et permettra de nouvelles destinations à travers l’Europe sans restrictions.
C’est la révolution des vols à prix bas qui permettra aux israéliens de classe moyenne de voyager dans des pays étrangers. Nous parlons de justice sociale et voulons réduire le coût élevé de la vie, et ces vols sont une preuve directe », – a dit le ministre Israel Katz.

Rappelons que l’aile ouest du terminal 1 a été utilisée pour la mise en oeuvre des vols internationaux depuis des décennies jusqu’à l’ouverture du nouveau terminal 3, en 2004, et a été reconstruit et modifié spécifiquement pour les vols low-cost.
Selon l’Autorité des aéroports d’Israël, il est prévu que d’ici la fin 2013, le nombre de passagers du terminal 1 atteindra environ 260.000 personnes, contre 185 mille passagers en 2012, soit une augmentation de cinquante pour cent.

Source : alyaexpress-news

PLUS DE JUMEAUX EN ISRAËL

Le nombre de naissance de jumeaux a augmenté de manière significative en Israël ces dernières années. 
Selon les chiffres publiés par le Bureau central des statistiques, en 2010, sur l’ensemble des naissances, 7456 étaient des jumeaux contre 4,5 en 2007. 
Une autre constatation a été faite : plus la mère est « âgée », plus les chances d’avoir des jumeaux sont importantes. Ceci est dû aux traitements effectués en cas de difficulté à tomber enceinte. 

Ainsi ; 2084 jumeaux sont nés de mères âgées de 25 à 29 ans, et 2578 jumeaux de mères âgées de 30 à 34 ans. Mais le plus spectaculaire est quand les mères sont plus avancées en âge : 24,8 % des naissances de femmes de 45 ans et plus sont jumelées, soit une naissance sur quatre. 

Autre donnée révélée par cette étude : 5787 couples de jumeaux sont nés de femmes de religion juive, 1521 de femmes musulmanes et 238 de femmes « n’ayant pas d’appartenance religieuse ». 
 (source : Israël Hayom)

Israël dans le Top 20 du bonheur !

Une étude du Columbia University’s Earth Institute s’est penchée sur la très sérieuse question existentielle du bonheur, nous donnant la possibilité de répondre en toute objectivité, à nous, citoyens de nos pays respectifs, à la question : "Are you happy in your country ? " 
Et oui, le bonheur peut être mesuré suivant une variété de paramètres, dont l’espérance de vie, la mortalité infantile, le statut socio -économique et l’éducation. 
Au résultat des courses et sans plus attendre, sachez qu’au palmarès du bonheur 2013, Israël se place à la 11ème place.
Cependant, le bonheur n’est pas sensible au froid puisque l’étude du Columbia University’s Earth Institute révèle que vivre dans un pays nordique même au grand bonheur.
En effet, les plus heureux du monde sont au Danemark.
Comme les années précédentes, les pays nordiques arrivent en tête de liste et le Danemark arrache la première place, suivi de près de la Norvège, la Suisse, les Pays-Bas, la Suède, le Canada, la Finlande, l’Autriche et l’Islande.
À la 11ème place sur 150 pays, un tout petit pays mais toujours au centre de l’actualité ; Israël, (gagnant 3 places par rapport a l’année 2012) et juste derrière, la Nouvelle-Zélande, les Émirats arabes unis, les États- Unis, l’Irlande et le Luxembourg.
L’Afrique et d’autres pays frappés par la pauvreté sont les plus malheureux. Le Togo, tristement, se trouve à la dernière place..
Les soulèvements populaires et les renversements de pouvoir au Moyen-Orient, ne rendent pas les peuples plus heureux, leur niveau de bonheur a chuté avec leur régime de 11,7%. Cependant, c’est la crise de « la marmite » donc les pays touchés par des crises économiques qui rend leur population la plus malheureuse. Dis-moi ce que tu consommes, je te dirais si tu es heureux ?
Le bonheur se compose d’émotions positives vécues par une personne telles ; ses plaisirs dans sa vie, la satisfaction, un sentiment de bien -être, l’optimisme et un sens à trouver dans la vie.
L’indice de bonheur d’Israël est parmi le plus élevé du monde dû a un optimisme incontesté des Israéliens. Le fait de vivre en liberté, la sécurité et l'espoir d’aspirer toujours à une vie meilleure font que les Israéliens nagent en plein bonheur.

Muriel Bensimon, source le monde juif.info

LES SMARTPHONES A L’HEURE D’HIVER !

L’intelligence de nos Smartphones a ses limites : de nombreuses personnes se sont rendues ce matin au travail et à l’école avec une heure de retard. L’excuse donnée n’était pas « le réveil qui n’a pas sonné » mais l’Iphone qui a sonné une heure plus tard. En effet, les smartphones sont programmés pour modifier automatiquement l’heure lors du passage de l’heure d’été à l’heure d’hiver (et inversement). Or, il se trouve que cette année, l’heure d’été, qui était jusqu’à présent toujours modifiée durant le shabbat qui précédait Kippour, se prolonge jusqu’au 26 octobre prochain, selon la décision du ministère de l’Intérieur. Certes, un message a été envoyé via tous les opérateurs israéliens pour demander aux utilisateurs de désactiver le changement d’heure automatique et de se placer sur le fuseau horaire d’Athènes, mais ce message, en hébreu, n’a pas été compris par tous ou n’a pas été pris en considération. Notez que le passage à l’heure d’hiver se fera en Israel dans la nuit du samedi 26 octobre au dimanche 27 octobre 2013. 

ON NE MELANGE PAS LES TRIANGLES ET LES CARRES

La Rabbanout d’Israël légifère : Les borekas Parvé et Halavi devront être de forme différente.

Le borekas authentique a bien évolué : au fur et à mesure, les garnitures se sont multipliées et les boulangers ont rivalisé de créativité en ce qui concerne les formes de ces chaussons fourrés en pate feuilleté tant apprécié des Israéliens.

Afin de ne pas tromper les personnes qui respectent la Casheroute, le rabbinat a décidé que les boulangeries casher devaient respecter le même « code forme » pour les borekas : carrées pour les parvé et triangles pour les halavi (à base de lait). Quand aux croissants parvé, ils devront désormais être droits, à la différence des croissants halavi qui seront en forme de lune.

 La Rabanout affirme que cette décision a été prise suite aux plaintes de nombreux religieux s’étant trompés. « Les borekas ont cette particularité qu’ils sont vendus sans emballage, donc sans cette norme officielle, il est difficile de s’y retrouver ».

Il y a quelques mois, des représentants de la Rabbanout ont réuni les propriétaires des boulangeries leaders en Israël afin de leur exposer les différentes possibilités de formes.


La loi entrera en vigueur à Rosh Hodesh Elloul, soit le 7 août prochain(Source : Israël Hayom). 

« Evitez la tristesse à tous prix .C’est la racine de tous les maux » Rabbi Nahman de Breslev

Une fois n’est pas coutume, un site d’information français « Les échos.fr » a publié à la fin du mois dernier  un article positif sur Israël. Le journaliste  Favilla  s’est penché sur les résultats de plusieurs enquêtes .Deux classaient  Israël  en quatrième place (sur 193 pays) et en huitième place (sur 36) dans l’échelle du bonheur,  une troisième montrait que les jeunes israéliens avaient confiance en leur pays plus qu’en aucun autre. Ces résultats l’ont amené à intituler son article « Une leçon d’Israël » et à tirer quelques conclusions qui s’imposaient :
 «  Voilà un pays au régime électoral détestable, menacé de toutes parts par des voisins qui visent sa destruction, confiné dans un territoire exigu, théâtre d'immigrations diverses et de populations incompatibles. Le contraste est saisissant avec le diagnostic concernant les Français dans des enquêtes analogues ».
Rappelant à l’attention de ses compatriotes français qu’ils restent les champions du monde du pessimisme, le journaliste leur a donc suggéré de s’inspirer de l’exemple israélien pour retrouver le moral, ajoutant qu’il faudrait pour cela «être menacé à tout moment de disparaître » et à cause de cela «  être attaché passionnément à son pays, l'aider de ses devoirs et non l'accabler de ses droits, attendre de l'Etat qu'il organise votre défense et non qu'il vous nourrisse ». Pour conclure, il a même suggéré au gouvernement d’offrir aux jeunes Français une année sabbatique en Israël !
Cette analyse vient nous rappeler qu’il existe une réalité typiquement israélienne qui peut d’ailleurs paraître incompréhensible vue de l’extérieur. Car à l’image du peuple juif qui, au cours des périodes sombres de son histoire, a su garder espoir en des  jours meilleurs, nous, Israéliens, partons du principe qu’en ce monde, même la pire des situations n’est pas figée. Nos écrits nous enseignent qu’il n’y a pas d’obstacle que nous ne puissions surmonter, et c’est d’ailleurs  du Talmud de Jérusalem qu’est tiré le célèbre dicton « tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir ». Or ce pays a justement été bâti sur l’espoir après la Shoah et même notre hymne national s’intitule l’espoir « Hatikva ».

Certes, il est vrai que nous sommes parfois au bord de la crise de nerfs pour régler nos problèmes quotidiens, la « savlanout » (patience) étant un capital facilement épuisable  dans un contexte où gagner sa vie n’est pas toujours évident. Il est vrai que nous voyons rouge et que nous sommes inquiets à l’annonce d’une énième vague d’augmentations des taxes et de diminutions des aides. Il est vrai que nous sommes parfois choqués par des attitudes ou des paroles qui n’honorent pas leurs auteurs, à l’image d’un député de la Knesset  qui a récemment  traité de « parasites » un pan de la société. Il est vrai que nous tremblons lorsqu’un conflit éclate à nos frontières et que nos enfants sont en première ligne. Il est vrai que nous devons  aussi composer quotidiennement avec des apprentis du mal qui ne savent pas quoi inventer pour  attenter à nos vies. Mais, malgré cela, nous gardons le cap sur l’optimisme, nous sommes attachés à notre pays, nous le défendons de toutes nos forces et nous ne  souhaitons vivre nulle part ailleurs.
Notre espoir est tout simplement notre arme suprême. Récemment, au cours d’une interview, la chanteuse Shirel m’en donnait une émouvante illustration en évoquant le monument dédié aux victimes de la discothèque  le « Dolphinarium » à Tel-Aviv .A cet endroit précis où 21 jeunes venus danser ont été victimes il y a douze ans d’un attentat terroriste, est inscrite cette phrase qui se passe de tout autre commentaire :
« lo nafsik lirkod », nous n’arrêterons pas de danser !

Yaël Lancri, édito ASHDOD AUJOURD HUI n°121

IDF – Les soldats israéliens seront mieux payés


Bonne nouvelle pour les soldats en service, le ministère israélien de la Défense va augmenter leurs salaires en 2014. Les non-combattants toucheront dès l’année prochaine 426 shekels par mois et les combattants 847 shekels. C’est toujours moins que le salaire minimum mais cela représente tout de même une augmentation de 21%, alors que les salaires étaient gelés depuis 2002.

Selon le ministre de la Défense Moshe Ya’alon, le gel des salaires des soldats ne fait que renforcer les inégalités de la société israélienne en ce qui concerne le partage du devoir national, ajoutant que "si l’Etat d’Israël doit être reconnaissant envers quelqu’un, c’est avant tout envers ses soldats".
La thématique de l’égal partage du devoir national a été au cœur des dernières campagnes électorales, et plusieurs projets de lois à ce sujet ont déjà été présentés au gouvernement. Par exemple, il a été proposé par le ministre pour la Protection de l’Environnement que les salaires des soldats soient alignés au salaire minimum à partir de la troisième année de service.
C’est donc une problématique qui dépasse le ministère de la Défense puisqu’elle semble intéresser l’ensemble des parties au pouvoir. Pour l’heure, l’augmentation annoncée des salaires devrait coûter environ 170 millions de shekels par an de plus au ministère de la Défense, qui prévoit alors de solliciter l’aide à moyen terme l’aide du ministre des Finances. Celui-ci a d’ores et déjà confirmé son soutien, tout comme le Ministère de la Justice.
La semaine dernière, M. Ya’alon a également annoncé que 60 millions de shekels seraient débloqués du budget annuel de la défense pour octroyer plus de bonus aux réservistes.

source: www.lepetitjournal.com/tel-aviv

PLUS DE LA MOITIE DES OFFICIERS SONT…DES FEMMES


La femme israélienne fait son service militaire dans Tsahal, n’est pas pressée de se marier et conduit mieux que les hommes : Telles sont les données révélées par le Bureau central des statistiques à l’occasion de la journée de la femme qui s’est tenue le 8 mars dernier.

La position des femmes dans l’armée a beaucoup évolué durant ces dernières années et occupe désormais une place honorable. Aujourd’hui, 34% des soldats qui servent dans Tsahal sont des soldates, et 57% de tous les officiers sont des femmes. Par ailleurs, les femmes accèdent à presque toutes les fonctions au sein de l’armée, puisque 92% des postes peuvent être occupés par des femmes.

Autre donnée révélée par ce même rapport : la femme israélienne reste de plus en plus longtemps célibataire. A Tel-Aviv, une femme sur deux âgée de 30 à 34 ans est célibataire – 1 sur 5 à Haïfa et à Rishon leTsion n’est pas mariée – Ce n’est pas le cas à Ashdod et à Petah Tikva, où seule une femme sur dix est célibataire. L’âge moyen auquel l’Israélienne se marie est actuellement de 24,8 ans, contre 23,4 en 1995. Par ailleurs, les femmes se débrouillent très bien sans mari : toujours selon le bureau central des statistiques, 90% des mères d’enfants âgés jusqu’à 17 ans vivent avec leur mari, et pas moins de 104 000 femmes sont des mères mono-parentales.

Mais là où les mentalités n’ont guère changé, c’est quand on compare les salaires entre la gente féminine et masculine. Le salaire moyen d’une femme est d’environ 6,600 shekels par moi, tandis qu’un homme gagne en moyenne, pour le même travail,  9976 shekels. Le salaire d’une femme ayant 9 à 12 années d’études est 15% inférieur à celui d’un homme ayant le même nombre d’années d’études.

Terminons cette étude avec une note positive pour les femmes : selon des données révélées par l’association « Or Yarok » (Feu vert), on apprend que les femmes- qui  représentent environ la moitié des automobilistes- sont impliquées dans seulement 12% de violents accidents de la route.
Source : Israël Hayom

PLUIE SUR EILAT !


Et oui, la pluie à Eilat fait toujours sensation car elle se fait généralement rare. Ceci dit, cette année, nous sommes gâtés car les averses sont plus nombreuses qu’à l’accoutumée. Et ce n’est rien comparé au reste du pays : Le mois dernier, Israël a connu 29 jours de pluie, brisant ainsi le record de 25 jours de précipitations en janvier 1947. Janvier 1969 et février 1992 avaient connu 24 jours de pluie. Heureuse conséquence de ces précipitations : le niveau du lac de Tibériade (véritable baromètre israélien avec le cours du dollar) est remonté de 55 centimètres durant ce dernier mois ! (une info qui va faire plaisir à nos amis Tunisiens…). Un site Internet très sérieux (savethekinneret.com)  permet même de suivre en ligne le niveau du Kinneret. De plus, de nombreux conseils y sont donnés pour économiser l’eau. Ainsi, on apprend que le fait de fermer le robinet le temps de se savonner sous la douche permettrait d’économiser 220 litres par douche-pour une douche de 10 minutes- soit 80000 litres par an !

SO FRENCH, SO GOOD: SEMAINE DE LA GASTRONOMIE FRANÇAISE EN ISRAEL

Pour la première fois, une dizaine de grands chefs français, des cuisines de l'Elysée à celles du Crillon, participent cette semaine à l'événement « So French, so good », une semaine de haute gastronomie, en Israël. Parmi les toques invitées, figurent Thierry Marx, le pape de la cuisine moléculaire en France, Guillaume Gomez, le chef de l'Elysée, et Christopher Hache, au fourneau des ambassadeurs, à l'hôtel Crillon. Les chefs français vont préparer des menus originaux pour les meilleures tables de Tel-Aviv et Jérusalem. Ils tiendront des « master classes » de pâtisserie, du travail du chocolat et de cuisine moléculaire dans un grand hôtel de Tel-Aviv. Pour Thierry Marx, deux étoiles au Michelin 2012, « Israël vit une évolution gastronomique, à l'image de la société israélienne, vers plus de dynamisme et de modernité ». Il a par ailleurs confirmé au quotidien Haaretz qu'il espérait ouvrir un restaurant à Tel-Aviv. Cette semaine de la gastronomie, organisée par l'ambassade de France et l'Institut français d'Israël, est accompagnée d'une exposition photo, une foire du livre culinaire et un forum consacré aux patrimoines gastronomiques des deux pays. Au programme également, l'avant-première israélienne du film "Les Saveursdu Palais" de Christian Vincent, inspiré de l'histoire de Danièle Mazet-Delpeuch, ancienne cuisinière en chef de François Mitterrand à l'Elysée, venue à Tel-Aviv pour l'occasion. (Source: abc-luxe.com)

LES DIVORCES…AUSSI EN ISRAËL


Malheureusement, le divorce n’a pas épargné la communauté juive, ni Israël qui, comme les autres pays, connait ce phénomène. Qu’en est-il à Eilat ?

En 2012, 117 couples ont divorcé dans la ville d’Eilat. L’année précédente (2011), ils étaient 98, soit une augmentation de 29%. Ce sont les statistiques publiées par la direction du Beth Din Harabanim (Rabbinat). En regardant les chiffres recensés les années passées, on constate une irrégularité selon les années : En 2008, 96 couples ont divorcé, en 2009 114, en 2010 111,en 201189, et enfin en 2012 117, comme indiqué plus haut.

Selon ce rapport, la ville d’Eilat se situe en milieu du classement du nombre de couples qui divorcent en Israël, c’est-à dire loin derrière des villes telles que Tel-Aviv, Jérusalem ou Beer Sheva. Par ailleurs, Eilat se situe en bas du tableau en pourcentage de divorcés sur 100 000 personnes.

Toujours selon ces données, le nombre de personnes divorcées en Israël en 2012 a augmenté d’environ 5% comparé à 2011. En 2012, 10694 couples ont divorcé en Israël, alors qu’ils étaient 10210 couples en 2011 à obtenir le Guet. Pour se faire une idée de  l’augmentation significative du nombre de divorces dans le pays, notez qu’il y a dix ans, le nombre de couples divorçant était d’environ 9200 par an.  La directrice du Rabbinat affirme que ces statistiques révèlent que des milliers de demandes d’ouverture de dossiers supplémentaires ont été enregistrées comparé à l’année précédente.

Dans ce contexte, le Rabbinat d’Israël a annoncé cette semaine qu’à partir de la semaine prochaine, un standard téléphonique ouvrira dans les bureaux du Conseil religieux de la ville. Un accueil téléphonique se fera également dans toutes les villes.

Tel pour Eilat : 08-626 39 07 du dimanche au mercredi, de 10h à 13h.

DES DIFFICULTÉS POUR APPRENDRE L’HEBREU ?


Le Bureau Central des Statistiques (CBS) vient de publier un sondage qui montre que 27% des Israéliens ont des difficultés avec la langue hébraïque. Alors si vous avez de la peine à apprendre cette langue, sachez que vous n’êtes pas seuls…

En effet, le sondage rapporte que 12% de la population arabe et 26% de la population russe ne parle pas un mot d’hébreu.

Plus de six décennies après la naissance de l’Etat d’Israël et plus d’un siècle après la renaissance de l’Hébreu comme langue vivante, ces données semblent révélées que la langue hébraïque n’est pas si solide en Israël que l’on pourrait l’imaginer. D’après les informations récoltées par le CBS, l’Hébreu est la langue maternelle de 49% d’Israéliens âgés de plus de 20 ans seulement.

Les langues maternelles du reste de la population sont divisées entre l’arabe (18%), le russe (15%), le yiddish (2%), le français (2%), et l’anglais (2%).

Parmi la population juive israélienne parlant l’Hébreu, 90% le maîtrise correctement et 70% disent le maîtriser parfaitement. Parmi la population arabe, 60% le parle couramment, sans difficultés tandis que 12% ne le connaissent pas.

Le sondage a également étudié la population russe. 51% de ces immigrants russes possèdent un bon hébreu alors que 26% le parle très peu ou pas du tout. Parmi cette population, 48% parlent russe à la maison et 6% au travail.
Ces difficultés face à la langue hébraïque se manifestent principalement au sein du système bureaucratique lorsqu’il s’agit de remplir des formulaires ou encore lors de lectures de lettres administratives. 27% des israéliens de plus de 20 ans disent rencontrer des problèmes pour remplir des formulaires administratifs ou pour rédiger des lettres formelles. Pour les israéliens de plus de 65 ans, ce chiffre s’élève à 53%.

Antoine RIPAUD (lepetitjournal.com/telaviv) 

ALYA DE France EN 5EME POSITION


Les chiffres ci-dessous confortent notre rang de 5ème pourvoyeur d’Olim. Près de 18.000 personnes ont fait leur Alya cette année, soit à peu près les mêmes chiffres que 2011.À l’instar des années précédentes, la majeure partie des immigrants viennent de Russie, 3451 personnes, soit 20% de l’Alya 2012.17 %, ou 2952 personnes, ont émigré des États-Unis, tandis que 14%, soit 2.952 personnes, arrivent d’Ethiopie. Quelques 2.030 migrants viennent d’Ukraine et 1.853 Olims de France, soit 0.98613926 %. Ces chiffres nous placent dont en 5ème position dans la liste des Olim Hadashim (nouveaux immigrants).

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Et quand les Olim (ou les Israéliens) quittent le pays (cela arrive malheureusement), ils partent majoritairement aux USA. C’est ce que révèle le bureau central des Statistiques, dans des données publiées dans le quotidien israélien Israël Hayom. Selon ces chiffres, 80% des Israéliens repartant à l’étranger entre 1996 et 2008 sont allés aux Etats-Unis, 15% sont allés en Europe centrale et Europe de l’Ouest et 3% sont allés en Russie.
 Entre 1996 et 2008, 133539 couples et familles israéliennes, parents d’enfants âgés de 0 à 17 ans, dont l’un deux au moins était né à l’étranger, ont quitté le pays.

« RAK BE ISRAEL »*


Il y a des scènes de la vie quotidienne auxquelles on assiste uniquement en Israël. Des situations parfois insignifiantes, mais qui montrent ce qui fait la force de ce magnifique pays. Vous avez sûrement assisté à de telles scènes qui vous ont fait être fier d’appartenir à ce pays. Si c’est le cas, vous pouvez nous adresser votre témoignage (une vingtaine de lignes maximum). Nous nous ferons un plaisir de le publier sur le BLOG.

Voici une scène vécue « rak bé Israël » (seulement en Israël). Véridique.

Jeudi 3 janvier 2013, 10h30 : Je suis dans la salle d’attente de l’hôpital Yosseftal . Un jeune homme qui tient deux enveloppes en main et semble impatient est assis. Une femme est également assise à côté, un couple est en face de lui, et une autre femme debout devant la porte fermée du cabinet du docteur. Lejeune homme se lève et tape à la porte, avant d’essayer de l’ouvrir.

-N’entrez-pas ! dit la dame debout devant la porte, mon fils fait un examen et vous allez le déranger

-Mais ça fait deux heures que j’attends pour remettre simplement ces deux enveloppes avec mes résultats ! Je travaille, moi, je ne peux pas passer ma matinée ici !

Le ton monte, et au fur et à mesure que la discussion s’envenime, les autres personnes se mêlent (comme toujours en Israël…).

-Mais attendez, dit l’homme en couple, se levant pour l’empêcher de rentrer, vous voyez bien que la porte est fermée et que le docteur ne vous recevra pas ! Vous n'êtes pas un homme patient!

-Je suis surtout un homme qui travaille! Je veux juste déposer ces enveloppes et je pars ! C’est pas possible, il devrait y avoir un secrétariat pour s’occuper de ces choses là ! Je n’ai pas que ça à faire !

-Et nous, vous croyez qu’on a que ça à faire ! Dit la dame à ses côtés. On est tous occupés, vous n’êtes pas le seul à travailler !

Deux minutes de chamailleries ont suffi à faire sortir le docteur qui dit au groupe de personnes : 
« Taisez-vous donc ! Je ne peux pas examiner comme ça mon patient, vous faites décidément trop de bruit ! »
 et il referme la porte, avant que le jeune homme n’ait eu le temps de lui donner ses enveloppes.
Ce dernier, énervé, les pose au sol devant la porte, puis s’en va en pestant contre tous.

Les autres se rassoient et se calment,  mais continuent de polémiquer sur ce qu’il vient de se passer. 

Cinq minutes plus tard, le jeune homme revient et s’excuse auprès de chacune des personnes avec qui il a eu des mots, en leur serrant chaleureusement la main.
Quand il repart, deux personnes qui ont assisté à la scène (sans intervenir) lui disent « Kol Hakavod » (bravo !). Puis les patients dans la salle d’attente reprennent leur activité, comme si rien ne s’était passé……..

Il n’y a qu’en Israël où on assiste à de telles scènes………
Valérie Bitton

ISRAEL 2013 : 8 MILLIONS DE CITOYENS


Pour la première fois, Israël a pratiquement atteint les 8 millions de citoyens. C’est ce qu’a révélé le bureau central des statistiques qui publie, à chaque fin d’année civile, des chiffres sur l'Etat d'Israël.  Parmi ces Israéliens, 6,015,000 sont juifs et 1,648,000 arabes. Depuis l'année dernière la population a augmenté de 154 000 personnes et dans la dernière décennie de 1,350,000.

En ce début d'année 2013, la population israélienne compte donc 7,981,000 âmes. Selon ces informations, il apparaît que 6,015,000 des israéliens sont juifs (75,4%), que 1,648,000 sont arabes et que 319,000 sont classés dans la catégorie "autres".

Durant l'année 2012, la population d'Israël a augmenté de 145,000 âmes, ce qui représente une augmentation de 1,8%, comme pendant la dernière décennie. Durant l’année 2012, 170,000 bébés sont nés et 16,500 personnes ont fait leur Alya (Notez que ce rapport ne précise pas combien d'israéliens sont morts ou ont quitté le pays).

De ce rapport, on apprend que la population israélienne a augmenté pendant la dernière décennie de 1,350,000 âmes. Il y a 20 ans 5,195,900 personnes vivaient en Israël, et il y a 40 ans 3,225,000. En 1962 il y avait en Israël 2,331,800 israéliens et dix ans plus tot 1,629,500.

Source : Bureau central des statistiques

LES ENFANTS ISRAELIENS CHOISISSENT LES PATES


Un sondage qui vient d’être publié a tenté de savoir quels étaient les aliments préférés des enfants israéliens. Voici leurs réponses :

Les pates arrivent en tête : 17,3% d’entre eux ont en effet affirmé qu’il s’agissait de leur aliment favori. En deuxième position, arrive la pizza (15%), suivie du « chnitzel » (escalope de poulet panée) (13,7%). Etonnamment, les frites n’arrivent qu’en quatrième position dans la liste (8%).  
Toujours selon cette enquête et contre toute attente, il apparaît que les enfants israéliens préfèrent le salé au sucré : ainsi, le chocolat vient en cinquième place des aliments préférés pour 5,3% des enfants.  Parmi les dix aliments favoris, on trouve le hamburger (4,3%), le riz et les pancakes (3,3% des suffrages). Le poulet a remporté 3% des suffrages. Quant aux sushis et à la soupe, ils sont ex aequo avec 2,7% chacun.  Le dixième plat favori est le couscous, plébiscité par 2,3% des enfants.
Une autre question a été posée à nos gastronomes en culottes courtes : « Quels aliments préférez-vous manger tout au long de la journée ? ». Pour le petit-déjeuner, les céréales avec du lait remportent la vedette, pour le goûter de 10h, le pain au fromage. Le chnitzel est là encore choisi pour le déjeuner, du chocolat et des gâteaux pour le goûter de quatre heures, puis de la pizza au dîner. Les cinq fruits et légumes par jour ne sont pas encore intégrés dans le top des enfants israéliens !

Ce sondage a été effectué par la société Ipanel auprès de 300 enfants israéliens âgés de 6 à 13 ans.

Source : Israël Hayom

Valérie Bitton